J’ai peur.
Dans mon château de Légo.
J’ai peur.
Parce que. Je me fais peur. Et ça. ça fait peur.
Depuis que je suis jeune, je regarde, j’écoute, je prend des notes. Je me construis.
Je me suis construis un nid dans lequel il fait bon vivre.
Là où l’amour est roi.
Là où le vrai élimine le faux.
Maintenant que la vie d’adulte frappe à ma porte.
Toc.Toc.Toc.
Qui est là ?
Moi. Adulte. Grand. Celui que j’étais sur mon cheval. Dans mon Château fait de Légo.
Avec elle. Jamais bien loin.
Je me rend compte que le faux. Il est là. Partout.
Que mes pouces développent des habiletés incroyables pour parler.
Pour entrer en contact avec les gens.
Tinder. Twitter. Instagram. Facebook.
Le visage illuminé par une lumière qui n’est que fausse.
Dans une noirceur qui n’est que vraie.
C’est alors que.
Les gens que tu rencontres.
Tu les rencontres en te basant sur une liste. Sur papier.
Sur papier. Elle est jolie.
Sur papier. Elle aime de la jolie musique.
Sur papier. Elle fait des tops activités.
Sur papier. C’est elle.
Et c’est alors que. Dans la vraie vie. Je ne fais que regarder le papier bruler. Parce que le papier ne me réserve pas de surprise. Parce que les booms booms. Ne sont pas là.
Le problème. Il est où. Elle. Est où.
Avec tous ces gens qui sont seuls.
Où.
Mal accompagnés.
J’ai peur.
J’ai peur parce que cette spirale dans laquelle nous sommes. Elle fait peur.
J’ai peur. Criss que j’ai peur.
Parce que les statistiques. C’est des chiffres. Que je ne vois pas parce que je mets mon petit coco dans le sable.
Parce qu’on vie dans l’immédiat.
À mon avis. C’est l’immédiat qui alimente notre quotidien parce que la peur de demain est trop grande.
J’ai peur.
De ne pas te rencontrer.
Sous une discussion pleine de sens. Sous la surface. Remplie de vrai.
Si jamais tel serait le cas. Sache que le faux qui se sera emparé de toi au courant de tes jours.
Je m’aurais fait un plaisir de lui foutre une volée. Tous les jours.
Pour que tu sois bien.
Dans mon château de Légo.
Dans mon château de Légo.
J’ai peur.
Parce que. Je me fais peur. Et ça. ça fait peur.
Depuis que je suis jeune, je regarde, j’écoute, je prend des notes. Je me construis.
Je me suis construis un nid dans lequel il fait bon vivre.
Là où l’amour est roi.
Là où le vrai élimine le faux.
Maintenant que la vie d’adulte frappe à ma porte.
Toc.Toc.Toc.
Qui est là ?
Moi. Adulte. Grand. Celui que j’étais sur mon cheval. Dans mon Château fait de Légo.
Avec elle. Jamais bien loin.
Je me rend compte que le faux. Il est là. Partout.
Que mes pouces développent des habiletés incroyables pour parler.
Pour entrer en contact avec les gens.
Tinder. Twitter. Instagram. Facebook.
Le visage illuminé par une lumière qui n’est que fausse.
Dans une noirceur qui n’est que vraie.
C’est alors que.
Les gens que tu rencontres.
Tu les rencontres en te basant sur une liste. Sur papier.
Sur papier. Elle est jolie.
Sur papier. Elle aime de la jolie musique.
Sur papier. Elle fait des tops activités.
Sur papier. C’est elle.
Et c’est alors que. Dans la vraie vie. Je ne fais que regarder le papier bruler. Parce que le papier ne me réserve pas de surprise. Parce que les booms booms. Ne sont pas là.
Le problème. Il est où. Elle. Est où.
Avec tous ces gens qui sont seuls.
Où.
Mal accompagnés.
J’ai peur.
J’ai peur parce que cette spirale dans laquelle nous sommes. Elle fait peur.
J’ai peur. Criss que j’ai peur.
Parce que les statistiques. C’est des chiffres. Que je ne vois pas parce que je mets mon petit coco dans le sable.
Parce qu’on vie dans l’immédiat.
À mon avis. C’est l’immédiat qui alimente notre quotidien parce que la peur de demain est trop grande.
J’ai peur.
De ne pas te rencontrer.
Sous une discussion pleine de sens. Sous la surface. Remplie de vrai.
Si jamais tel serait le cas. Sache que le faux qui se sera emparé de toi au courant de tes jours.
Je m’aurais fait un plaisir de lui foutre une volée. Tous les jours.
Pour que tu sois bien.
Dans mon château de Légo.
Écrit : Marc