Il y a de ces moments dans ta vie où t’as l’horloge biologique qui a le son d’une cloche d’église. Celle qui sonne trop fort le dimanche matin et qui te résonne dans la tête. Et ces moments où ton calendrier t’annonce que, de jour en jour, t’approches le 3.0. Sans oublier que t’as toujours pas de job stable et ni de chum stable. D’ailleurs, t’as le profil de la série Les hauts et les bas de Sophie Paquin, mais en moins Up. Ce sont donc ces moments où tu mixes le tout et que t’ajoutes aux échecs, que ton compte en banque est fucking boulimique, que le seul amour que t’as, c’est celui de tes chats, de tes colocs, tes amies en couple, avec des enfants et des jobs stables. Donc, tu te rabats sur tes plantes, ta déco et encore tes chats.
C’est donc à ce moment où un petit quelque chose qui fait déborder le tout, t’amènes à péter ta coche. Une coche, pas belle. Avec de l’écume, de la morve et où tu réalises que ça arrive des fois, d’oublier de respirer. Alors, tu détestes la vie entière. Tu vas sur ton Facebook et tu supprimes tout le monde, en pensant qu’un clic va tout arranger. Bonjour la naïveté. Après avoir passé de 850 cybers amis Facebook à 111, tu réalises que le vide est toujours là. Et que ce ne fut pas en supprimant la belle Josiane qui t’énarves avec sa vie parfaite et ses belles photos Instagram, que ton bonheur va se pointer le bout du nez.
Tu as beau parler à ton subconscient, lui dire que t’es heureuse dans ce que tu vis, que tu es bien entourée, que tu as fait ces choix, par amour pour les arts; Tu n’as pas le sentiment d’être accomplie. Pourquoi ? Parce que nous vivons dans une société où on nous dicte que l’accomplissement de soi et le bonheur tourne autour de la réussite du travail, la famille et de l’argent ? C’est là que ton analyse embarque dans le projet, qu’elle te confirme que t’es pas obligé de faire parti de la masse, que le bonheur vient de soi avant toute chose et de cesser de se comparer.
Il y a du vrai. Chacun à son cheminement, certes.
Mais ça l’empêche pas que des fois, Josiane pis ses belles photos Instagram de ses beaux bébés et de son voyage en chine, t’énarve.
Des fois, ça fait du bien de péter sa coche.
C’est donc à ce moment où un petit quelque chose qui fait déborder le tout, t’amènes à péter ta coche. Une coche, pas belle. Avec de l’écume, de la morve et où tu réalises que ça arrive des fois, d’oublier de respirer. Alors, tu détestes la vie entière. Tu vas sur ton Facebook et tu supprimes tout le monde, en pensant qu’un clic va tout arranger. Bonjour la naïveté. Après avoir passé de 850 cybers amis Facebook à 111, tu réalises que le vide est toujours là. Et que ce ne fut pas en supprimant la belle Josiane qui t’énarves avec sa vie parfaite et ses belles photos Instagram, que ton bonheur va se pointer le bout du nez.
Tu as beau parler à ton subconscient, lui dire que t’es heureuse dans ce que tu vis, que tu es bien entourée, que tu as fait ces choix, par amour pour les arts; Tu n’as pas le sentiment d’être accomplie. Pourquoi ? Parce que nous vivons dans une société où on nous dicte que l’accomplissement de soi et le bonheur tourne autour de la réussite du travail, la famille et de l’argent ? C’est là que ton analyse embarque dans le projet, qu’elle te confirme que t’es pas obligé de faire parti de la masse, que le bonheur vient de soi avant toute chose et de cesser de se comparer.
Il y a du vrai. Chacun à son cheminement, certes.
Mais ça l’empêche pas que des fois, Josiane pis ses belles photos Instagram de ses beaux bébés et de son voyage en chine, t’énarve.
Des fois, ça fait du bien de péter sa coche.