Il y a de ces semaines où tu déprimes. L’été est sensé être sur le porche, mais il a plutôt décidé d’être gris. Alors tu fais la gueule. Tu restes dans tes séries télé pis t’as juste envie que le restaurant soit à ta porte. Mais tu décides de t’armer de tes bottes de pluie et de donner un coup de pieds au derrière à cette température.
Tu prends le métro, puis tu découvres ta ville. Parce que c’est beau. Parce que c’est vivant. Puis tu tombes sur une drôle de camionnette. Jaune, rigolote, avec une rousse invitante dessus. Elle te donne envie d’aller voir. Parce que c’est une sandwicherie et que t’as l’estomac qui gargouille fort.
C’est là que tu découvres un trio de demoiselles ; Deux châtaines avec de jolis tatouages et la fameuse Rouquine qui t’faisais des Bonjours sur son camion. Ça sent bon la friture et t’as juste envie de te bourrer la face. De découvrir ce p’tit univers.
Zoé, c’est notre tête rousse. Quand elle te regarde, tu l’écoutes. Parce qu’elle t’absorbe avec ses grands yeux clairs. Elle t’explique avec son joli accent anglais, qu’elle a 15 ans de restauration sous la cravate. Mais il était temps de mettre ses gants de grande fille et de vivre des challenges. Maintenant, avec la roulotte, elle mélange les styles culinaires. Va pour la nouveauté !
Avoir une sandwicherie sur quatre roues, c’est pas chose facile. Parce qu’il faut être courageux pour avoir envie de contrer la température. Avoir une camionnette remplit de nourriture, ça signifie : De la planification, un itinéraire, un gros inventaires de bouffe, des assurances, du gaz, des bouteilles de propane, une ville à combattre pis toute pis toute. Ça en fait des grosses choses, juste dans un p’tit bolide qui prend vie selon les saisons. Mais ça, ce n’est pas tout le monde qui est sensibilisé par cette nouvelle vague.
Il y a un peu plus de 40 roulottes qui déambulent à travers les rues de Montréal. Mais des femmes capitaines de ces gros bolides; il y en a qu’environ quatre. Des dures, qui s’accrochent à la même passion; Celle de faire découvrir ce qu’elles ont créées. Et parmi celles-ci, il y a Zoé.
De la cuisine de rue, ce n’est pas juste bon dans la bouche, c’est aussi une passion qui ce transmet. Qui est beau à voir grandir. À vivre. Et c’est un peu ton bedon et toi qui allez aider à faire vivre cette belle aventure.
Ici, il y a le site.
Il y a une page Facebook à Aimer gros.
Et un itinéraire à suivre.
Tu prends le métro, puis tu découvres ta ville. Parce que c’est beau. Parce que c’est vivant. Puis tu tombes sur une drôle de camionnette. Jaune, rigolote, avec une rousse invitante dessus. Elle te donne envie d’aller voir. Parce que c’est une sandwicherie et que t’as l’estomac qui gargouille fort.
C’est là que tu découvres un trio de demoiselles ; Deux châtaines avec de jolis tatouages et la fameuse Rouquine qui t’faisais des Bonjours sur son camion. Ça sent bon la friture et t’as juste envie de te bourrer la face. De découvrir ce p’tit univers.
Zoé, c’est notre tête rousse. Quand elle te regarde, tu l’écoutes. Parce qu’elle t’absorbe avec ses grands yeux clairs. Elle t’explique avec son joli accent anglais, qu’elle a 15 ans de restauration sous la cravate. Mais il était temps de mettre ses gants de grande fille et de vivre des challenges. Maintenant, avec la roulotte, elle mélange les styles culinaires. Va pour la nouveauté !
Avoir une sandwicherie sur quatre roues, c’est pas chose facile. Parce qu’il faut être courageux pour avoir envie de contrer la température. Avoir une camionnette remplit de nourriture, ça signifie : De la planification, un itinéraire, un gros inventaires de bouffe, des assurances, du gaz, des bouteilles de propane, une ville à combattre pis toute pis toute. Ça en fait des grosses choses, juste dans un p’tit bolide qui prend vie selon les saisons. Mais ça, ce n’est pas tout le monde qui est sensibilisé par cette nouvelle vague.
Il y a un peu plus de 40 roulottes qui déambulent à travers les rues de Montréal. Mais des femmes capitaines de ces gros bolides; il y en a qu’environ quatre. Des dures, qui s’accrochent à la même passion; Celle de faire découvrir ce qu’elles ont créées. Et parmi celles-ci, il y a Zoé.
De la cuisine de rue, ce n’est pas juste bon dans la bouche, c’est aussi une passion qui ce transmet. Qui est beau à voir grandir. À vivre. Et c’est un peu ton bedon et toi qui allez aider à faire vivre cette belle aventure.
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