Des indiens dans la ville
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La ruche Blanche 

6/11/2015

 
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Parfois, quand on ose, ça nous mène à des endroits auxquels on rêve,  mais qu’on a tendance à croire qu’il ne se réaliseront pas.


Dernièrement, j’ai osé.


J’ai écris à Laurie TB, une directrice artistique et styliste qui a mit sur pieds La Ruche Blanche, avec son amie photographe, Èva-Maude Tc. Ensemble, elles ont trouvé un petit studio dans Griffintown où elles ont investit temps, argent et beaucoup d’amour, afin de lui redonner une seconde vie. Ce petit studio se trouve en plein cœur d’une rue qui grouille d’artistes. De plus, elles sont situées à côté de l’Arsenal, un Musée d’art à découvrir si vous n’y avez pas encore mis les pieds.


Un jour de semaine, j’ai pris mon courage à deux mains et je me suis dit : «Pourquoi pas, le pire est qu’elle va refuser!». C’est donc par l’entremise Facebook que j’ai communiqué avec Laurie TB, afin de lui offrir mon aide en tant que conceptrice visuelle. Elle m’a relancée quelques jours plus tard afin de m’offrir d’être Assistante-styliste, en plus de ma proposition. Elle souhaitait que je l’aide lors du shooting photo pour Le Cahier.


Woohoo ! 


LE CAHIER !



J’ai littéralement sauté sur l’occasion. Je crois que cette première collaboration sonnait mieux qu’une demande en mariage. Et la première chose qui m’est venu en tête c’est : « Mais comment vais-je m’habiller ? »


T’sais, des gros problèmes de fille…


Être assistante-styliste de Laurie TB et travailler avec deux bloggeuses de mode telles que Camille Dg et Virginie Pichet mène à ce genre de réflexion.



Bref, après avoir enfilé mes trafalucs Zara noir et un chandail long Dynamite accessoirisé de mes Birkenstock, ma montre DW et un collier de chez Rocco, je me suis convaincue que j’étais prête. C’est la fashionista en moi, que veux-tu !


J’étais donc au local ce mardi, le 2 juin, à 7h30, armée de beaucoup de café. Laurie m’attendait au studio afin que nous ordonnions les vêtements selon les designers et que nous finalisions les préparatifs de la veille. Il y avait plus de 60 looks à classer et à mettre en ordre. Nous avions sous la main les
Bracelets Ovie, Création chic Marie, Barbe Rose, Triumph, de même que des vêtements de chez C’Glam, la Boutique Onze, Fox et des adorables maillots de bain de Mimi Hammer. Il y avait également de la Famille Nomade, des vêtements de la Maison Simons, Againts Nudity et les Chaussures Alberto. Sans oublier les Montres Timex, des lunettes Dolce, les sacs Cockluch, des magnifiques foulards VVagabond, Gazelles Montréal et l’Essentiel par MF Empire Own the couture.  Une garde-robe digne des grands magasines.


Nous avions un futur modèle et grand charmeur. Un beau bébé qui s’est pointé le bout du nez pour vêtir les designers pour petits hommes et mettre en valeur le collier Bulle bijouterie et Little marine design. Il était accessoirisé des foulards
Ouistitine, les adorables peluches d’Electrik kidz et les vêtements + la dormeuse de Reçu Glup. Il y avait également le foulard et le joli bandana de P’tit mec et P’tite nana.


Il n’y avait pas que Camille Dg et Virginie Pichet à vêtir. Elles étaient accompagnées de 4 charmantes bloggeuses, stagiaires et collaboratrices du blog Le Cahier et Simon Morin, découvert à travers La Voix. Celui-ci était looké de Rw. Co. pour homme et la Maison Simons.


Èva-Maude Tc et Laurie Tb étaient très bien organisées. Elles étaient entourées de 3 autres photographes ; VLphotoo, Alessandra Jennifer et Michelle Gagné, en plus de 2 maquilleuses artistiques, Katia Proulx et Jessica Branchaud Meneses et deux assistantes. Jessica Lévis, qui secondait Èva-Maude Tc et moi, aux côtés de Laurie.


Une grosse journée bourrée d’entraide, de sourires, de bonne humeur, de gens inspirants qui aiment ce qu’ils font et de sac à main Valentino, Dolce Gabbana et Louis Vuitton.


Définitivement, ce fut l’une de mes plus belles expériences. Surtout lorsque j’avais le sac à main Louis Vuitton rouge entre les mains. C’était l ‘une de ces journées que je souhaite qu’elle se reproduise à tous les jours. Le jour de la marmotte, mais à La Ruche Blanche.

P.s. Je te laisse avec un petit avant goût du shooting et des deux demoiselles avec qui j'ai tant aimé collaboré. 


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June 10th, 2015

6/10/2015

 
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Men, woman and children et un membre du band Bad Captain, sur le sofa 

1/14/2015

 
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Pour mes 28 chandelles, j’ai décidé de me gâter et m’offrir un BACC en Histoire de l’Art. Alors, pour me féliciter ce changement, je suis retourné à mes premiers amours. C’est-à-dire retourner travailler dans un Vidéo durant mes études. Ce fût mes plus belles années lors de ma jeunesse et ça reste pour moi, l’une des plus belles richesses ; Le Cinéma.

 
J’entend souvent dire que les films, ces dernières années, ne sont pas « Su’a coche ». Pourtant, je dois avouer que depuis que j’ai de nouveau le privilège d’avoir les nouveautés de la semaine, avant leur sortie (Iiiiii !!!), j’ai été agréablement surprise. Ce week-end, j’ai visionné le film Men, Woman and Children. Un film que j’ai débuté avec l’oreille distraite et qui, finalement, m’a fait cesser toute activité pour crier le nom de mon Coloc, afin qu’il vienne poser son derrière à côté du mien.


D’abord, je vais vous présenter mon coloc. C’est un des talentueux membres du band Bad Captain. Il a du swag, il est intelligent, loyal, tappe parfois sur les nerfs parce qu’il est trop intelligent et il trippe sur découvrir de nouvelles affaires. Ces temps-ci, c’est Cosmos, la série. Il lit, visionne la série, et m’en parle fréquemment. Bref, présentation terminée.

 
Alors, Chris et moi, étions assit tous les deux dans nos pydj respectifs, un samedi soir, parce qu’on est ultra jet set. Le film Men, Woman and Children, sur notre cinéma maison 21 pouces, HD ultra Sound Round (NOT).  Ça débute avec une présentation de l’univers, d’où l’importance du pourquoi il devait poser son derrière à côté du mien.


Le réalisateur Jason Reitman, a selon moi, recréé un beau chef d’œuvre digne de l’une de ses dernières réalisations, « Juno », long métrage sorti en 2007. Adam Sandler, sort de son casting habituel. Il met les habits d’un père de famille, un brin blasé, mais qui bouillonne à l’intérieur. Ce film contient des personnages quelque peu clichés, qui reflètent les extrêmes. Jennifer Garner, une mère surprotectrice versus Judy Greer, une mère trop libertine avec sa fille. On côtoie l’univers cosmique, la technologie, la sexualité et les rapports familiaux qui s’évadent à travers l’univers technologique qui nous entoure. Mais, chacun d’eux tentent de se retrouver. Certains ce sont perdus via la technologie et la sexualité proposée par les Internet. D’autres, s’y retrouvent. Jason Reitman nous propose une belle balance. Un équilibre.

 
Pour finir, je vais terminer avec la citation préférée à Chris, que j’ai toujours écoutée avec une oreille distraite lorsqu’il me la citait.  Cependant, lorsque ce fut le film qui la cita, j’ai réclamé à Chris de fermer sa gu... 

 

Pour toi, mon ami:

« Look again at that dot. That’s here. That’s home. That’s us. On it everyone you love, everyone you know, everyone you ever heard of, every humain being who ever was, lived out their lives. The aggregate of our joy and suffering, thousands of confident religions, ideologies, and economic doctrines, every hunter and forager, every hero and coward, every creator and destroyer of civilization, every king and peasant, every young couple in love, every mother and efatger, hopeful child, inventor and explorer, every teacher of morals, every corrupt politician, every « superstar », every « supreme leader », every saint and sinner in the history of our species lived there-on a mote of dust suspended in a sunbeam.

The Eerth is a very small stage in a vast cosmic arena. Think of the endless cruelties visited by the inhabitants of one corner of this pixel on the scarely distinguishable inhabitants of some other corner, how frequent their misunderstandings, how eager they are to kill one another, how fervent their hatreds. Think of the rivers of blood spilled by all the rivers of blood spilled by all those generals and emperors so that, in glory and triumph, they could become the momentary masters of fraction of a dot.

Our posturings, our imagined seld-importance, the delusion that we have some privileged position in the Universe, are challenged by this point of pale light. Our planet is a lonely speck in the great enveloping cosmic dark. In our obscurity, in all this vastness, there is no hint that help will come from elsewhere to save us from ourselves.

The Earth is the only wolrd known so far to harbor life. There is nowhere else, at least in the near future, to wich our species could migrate. Visit, yes. Settles, not yet. Like it or not, for the moment the Earth is where we make our stand.

It has been said that astronomy is a humbling and character-building experience. There is perhaps no better demonstration of the folly of human conceits than this distant image of our tiny world. To me, it underscores our responsability to deal more kindly with one another, and to preserve and cherish the pale blue dot, the only home we’ve ever known. »

 
Carl Sagan – Pale Blue Dot.

Miyuki crochet, pour te réchauffer cet hiver

9/30/2014

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Les parcs se voient de plus en plus orangés.  C’est le moment d’ouvrir nos penderies pour redécouvrir nos petites laines abandonnées et nous augmentons le chauffage avec horreur. Le retour en classe cogne à nos portes et c’est avec courage qu’on arbore nos grosses écharpes de laine, afin de remettre nos fesses sur les bancs d’école. Et beaucoup de café. Mais, c’est à travers les créations de Miyuki Crochet, que nous conjuguons chaleur, confort et  style, pour le retour en classe ou de notre quotidien.

Stefanie, est avant tout une comédienne de formation. Et c’est entre deux lectures qu’elle fût la créatrice de petits trésors conçus grâce à ses crochets. C’est munie de ses deux baguettes, qu’elle donne forme à des  bandeaux, tuques, boucles et écharpes faits de laine, d’alpaga, mohair, de coton, polyester et d’acrylique. Toutes ces matières sont présentes pour amener un look totalement unique à chacune de ses pièces créées.  

C’est en se promenant à travers les rues de Montréal, qu’elle ouvre ses yeux grands afin de voir les nouvelles tendances et d’amener sa petite touche personnelle. Parce qu’elle dit qu’il y a de si belles personnes, dans nos rues. C’est donc en s’influençant de ce qui l’entours, qu’elle recrée les patrons et amène un vent de nouveauté dans l’univers du crochet. Son mandat ? Créer, des accessoires de mode parfaits pour joindre le luxe et le confort, afin que celles-ci puissent bien s’uniformiser à toutes les tenues.

Mais Stefanie, a plus d’une flèche à son arc. En plus d’être comédienne, créatrice et conceptrice de Miyuki Crochet, elle est aussi photographe. Parfois même le mannequin et fait la retouche.  Mais c’est lorsqu’elle est devant l’objectif, que son copain apporte main forte à l’appareil.

À présent, c’est à travers 

son site 
http://www.miyukicrochet.com/,


Sa 

page Facebook 
https://www.facebook.com/miyukicrochet


Et 

Etsy https://www.etsy.com/shop/MiyukiCrochet,

Que tu peux encourager une conceptrice et une entreprise locale. Et te pavaner fièrement d’un modèle créé par une talentueuse comédienne Montréalaise.

Et juste pour toi, une signature à la Miyuki

≥︺‿︺≤

Psst. Tu l'as manqué à Lanaudière, le 27 septembre pour Etsy Canada, mais pour plus d’informations sur les événements à venir, Like sa page Facebook.


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Une petite Beauté, pour le réfrigérateur 

9/20/2014

 
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Entre l’école et le travail, tu vas sur Pinterest afin de rêver un peu et te donner des idées pour pimper ton petit chez toi. Les images de décoration intérieure défilent et te font saliver, puis tu jettes un coup d’œil derrière ton ordi pour regarder piteusement ton appartement qui manque un peu d’amour. Ou plutôt de budget.

Le réfrigérateur rétro de couleur turquoise, te fait constamment tourner de l’œil, mais ton porte-monnaie souffre. Alors, j’ai quelques trucs pour toi.

Ton arme ?

B.I.N. : Un apprêt qui va adhérer la matière de ton réfrigérateur. Ce qui va permettre à ta peinture choisit de pouvoir s’agripper à long terme à ton réfrigérateur et ça, tout en ayant une belle couleur scintillante.

B.I.N. tu vas le retrouver dans tous les quincailleries du coin. La petite canne, dans les alentours de 25$ taxe incluse, sera amplement suffisante pour le réfrigérateur entier.  

Si tu te sens fou, tu peux aussi faire des motifs; Te la jouer Marin et faire des lignes, créer des imprimés de différents frênes de cadre. Le peindre avec de l’ardoise, pour que tu puisses écrire des jolies notes d’amour à tes colocs. Aussi, il y a l’idée de peindre les portes de différentes couleurs et etc. Bref, il te faut simplement de la motivation, beaucoup de thé et Hop! T’as un réfrigérateur qui a de la gueule, mais surtout pas comme les autres!



De l'art, Titanic et Misteur Voyer 

9/12/2014

 
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Tu es le genre nostalgique. Celui, avec une bibliothèque remplit de VHS, dans lesquelles tu retrouves la fameuse vidéocassette double du Titanic et des enregistrements de Télé-Pirate. Tu as encore ton vieux VHS remplit de stickers et il  griche. Et même si tu souffles dans tes cassettes, tu finis par considérer que ça donne de la gueule à tes vieux classiques 90’.  Pour toi, les couleurs pastel et les chandails trop grands, ce n’est pas qu’une période, c’est toi. Alors, je t’annonce que tu as trouvé l’artiste fait pour toi; Dominic Voyer.

Dom, c’est le gars qui porte fièrement un T-Shirt X-large avec nos deux éternels tourtereaux Jack Dawson et Rose DeWitt Bukater. Mais, c’est aussi celui qui aime conjuguer artistiquement l’innocence, l’inconscience, le choc et la prise d’autonomie, à travers le développement de « l’être » adulte et l’enfant qui restera toujours en nous. De figurer une ordre d’image et de la matérialiser à travers la peinture, tout en utilisant une palette de couleur qui lui est propre. Celle qui te fera un gros come back 90’.

Il a actuellement deux séries de toiles à son actif. Celle intitulée les « Nues », ainsi que celle où il y a des personnages d’émissions pour enfant. Nue, est une série qui a un regard sur l’histoire de l’art. C’est-à-dire, qu’elle met en lumière le modèle de la nudité féminine, mais avec une approche actuelle. C’est en usant des mots clefs tels que «Publique» ou «Voyeur», qu’il révèle cette quête de la jeunesse éternelle, tout en abordant une symbolique, celle du passé.

Puis, il y a les personnages d’émissions pour enfant. Un petit « Inception », qui, après avoir visionné en bloc tous les Télé-Pirates, lui a donné cette envie de les mettre en image. L’élément déclencheur ? Il a été touché par cette émission où des comédiens déguisés en jeunes, qui eux-mêmes en transition, servent de guides auprès de préadolescents. Ce cheminement entre l’adolescence et l’acquisition de l’autonomie à la vie adulte. Notre Mr. Voyer, c’est un jeune-vieux, nostalgique. Ceci dit, tu vas avoir la chance de retrouver un mixte de ces deux magnifiques expositions, qui seront affichés d’ici 2 mois à travers l’espace de l’Usine C.

Pour suivre notre amateur des 90’s, clic sur ce lien 
ICI 


http://dominic000.wix.com/voyer-dominic

Ah! Et va voir l’expo, petit. 


Celui qu'il faut voir

8/29/2014

 
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« Boyhood », est au départ un défi du réalisateur Richard Linklater, qui a pris le pari fou de filmer à intervalles réguliers  (tous les deux ans), le même groupe d’acteurs et ce, pendant 12 ans. Ce qui confère au film une fluidité et une harmonie alors encore impossible au cinéma. On s’attache à tous les personnages comme s’ils faisaient partie de notre entourage proche et qu’on avait grandi avec eux. Techniquement le film est irréprochable, et nous offre une leçon de cinéma avec, comme faire valoir    «simply is the best». 
L’image et la photographie sont belles, tout est réalisé avec du gout et rien n’est en trop. Un peu comme si un réalisateur décidait de filmer sans artifice. La subtilité et la manière sans cesse renouvelées pour passer d’une étape de vie à une autre sont toujours délectables.
La narration et les plans sont purs et tellement intelligents.

Pourtant d’une durée de 2h40, on ne s’ennuie pas une seule seconde, et le plaisir de suivre ce film est permanent. Cette œuvre filmographique est une vraie belle expérience que seule les salles obscures  peuvent nous offrir. Et qui, à coup sur, marquera l’histoire du cinéma d’une bien belle empreinte. Ça ne sera pas chose aisée de faire mieux pour les prochaines sorties cette année.

«Boyhood» est, pour le moment avec «Her», ce qu’on a vu de mieux. Vous savez ce genre de film où le début est cool et prometteur et la fin absolument parfaite. Et où, tout du long, vous avez ce petit sourire discret et la larme à l’oeil sans vraiment savoir pourquoi.

«Boyhood» nous montre et nous offre l’émotion la plus pure et universelle qui soit: la vie tout simplement…


Article : Anthony Naulleau 


Ta ville iconographique 

8/22/2014

 
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Marc Gosselin
Pont Jacques Cartier, pied du courant
Montréal, 2014
Techniques mixtes sur bois
36'' x 24''
*Disponible à la galerie Showroom Montréal


Lorsque tu marches à travers les rues de cette grande citadelle, tu es entouré de ces images qu’elle te propose. Tes p’tits yeux captent ces différents paysages architecturaux mis sur pieds. Ces immenses buildings, ces usines, ces condos, sur lesquels des architectes et constructeurs ont mis mains à la pâte, afin que nous puissions y vivre. Il y a des artistes tels que Marc Gosselin qui recrée, module et offre une seconde vie à cette urbanisation, parfois abandonnées. Ces énormes orphelines de vie.

Marc a été de ceux qui a étudié en Art Plastique au Cégep.  Par la suite, il a abouti dans l’univers de la présentation visuelle, à travers la mode. Par de là son travail, l’artiste en lui continuait à créer des collages sur toiles, qu’il conservait dans sa garde-robe. Après 12 ans auprès de la bannière Jacob, notre homme fût parmi les employés qui subirent les premières mises à pieds. Pour passer le temps, il continua à créer ses belles toiles brutes, qu'il exposait sur Facebook. Ce qui lui porta fruit, car le propriétaire du Showroom Montréal s’avéra être un admirateur de ses assemblages.

Le Showroom, c’est une petite boutique dans laquelle tu retrouveras des meubles « moderne mid-century », ainsi qu’une ambiance éclectique. Et que tu peux visiter grâce à son site juste ICI

www.showroommtl.com

Gosselin est de ces artistes qui s’inspirent de nos paysages urbains. Il travaille le rough, le brute et module les abandonnés. De plus, tu peux découvrir ses œuvres par les biais de Facebook et son site.

www.marcgosselin.com

&

https://www.facebook.com/pages/Marc-Gosselin/105952496267562

À travers sa démarche artistique, il a exposé au Village Éphémère. Par de-là son expérience, il créa des compositions plus colorées. Mais, il dû remettre ses tableaux dans son baluchon, afin de vivre de nouvelles aventures. Il affirme que les prochaines séries seront plus ternes, contrairement à celles exposées lors du Village Éphémère. Aussi, tu retrouveras certains de ses collages dans la ruelle Sainte-Catherine, coin Peel, où un projet pilote prend maintenant vie. D’autres projets tels qu’une série faite pour le village Nicolet seront exposés au Musée des Religions du Monde. Sans oublier, qu’il aura une future série pour la ville de Québec.

Misteur G. fait parti de ces artistes généreux. Par-delà cette belle générosité, il offre des Ateliers nommés Trait-d‘Unions, à l’Accueil Bonneau. Ce sont des ateliers créatifs où des artistes professionnels de renoms, sont invités. À travers ces noms, tu retrouves des artistes comme Marc Séguin, parrain de l’atelier d’art de l’Acceuil Bonneau. Sans oublier, la participation des artistes comme Armand Vaillancourt, Raoûl Duguay, Peter W. Hart et Danielle Barbeau.

http://marcseguin.com/

www.armandvaillancourt.ca

http://accueil.raoulduguay.net/

http://www.peterwhart.com/

http://www.daniellebarbeau.com/

Notre artiste, c’est un homme au grand cœur. Sa vision et son talent permettent de suggérer une perception intemporelle et artistique à notre décor urbain. Alors petit Indien, vient découvrir ta ville via un œil nouveau !

Et surtout, n’oubli pas de cliquer ICI

www.marcgosselin.com

&

https://www.facebook.com/pages/Marc-Gosselin/105952496267562


UNE STYLISTE, JUSQU’À TA GARDE-ROBE DE RÊVE 

8/15/2014

 
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Pour les enfants 90’, Clueless, c’est le film culte de tous jeunes amoureux de la mode. Celui dans lequel tu as rêvé d’avoir ce Walk In qui tourne et qui t’amène à te vêtir  de cette robe qui sait bien épouser tes courbes. Ces souliers qui te permettront d’être confiante et d’allonger ta silhouette, mais aussi avec confort. Et pour vous, messieurs, ce nœud papillon et ce veston qui feront craquer toutes les mam’zelles. Maintenant, il y a plus qu’une Cher & Dionne avec leur polaroid pour te permettre de te vêtir ;


Il y a 
Andrée-Anne Samson : Styliste.


Andrée-Anne c’est celle que tu veux avoir en tout temps dans ton sac à main ou ton porte-monnaie pour t’aider à agencer souliers, jupe et blouson. Afin d’avoir un style unique, qui saura respecter ton mode de vie, ton budget, ta personnalité, ainsi que ta silhouette. Elle est celle qui t’amènera à avantager ta beauté naturelle, tout en abordant des coupes intemporelles, uniques et qui seront caractérisées ta personnalité. 


Ayant étudié en Commercialisation de la Mode à Lasalle, puis travaillé à travers nos bannières Québécoises Dynamite et SHAN, et suivi une formation de Stylisme chez les Effrontés, notre styliste a beaucoup d’expérience dans son baluchon. C’est une passionnée de mode avec qui tu peux retrouver toutes les dernières tendances en visitant son site internet ; 



ICI

 www.andreeannesamson.com


Pour elle, le travail de styliste, permet d’amener la cliente à avoir confiance en son image et de se sentir valoriser grâce à ses choix vestimentaires. Et l’idée n’est pas seulement de trouver LE morceau idéal, mais celui qui aura la coupe, le tissu et la couleur parfaits. Réunir toutes ces caractéristiques en plus d’avoir l’avantage de passer à travers le temps. 

Cette amoureuse de Soie mise sur la sophistication et l’élégance. Ses designers coup de cœur ? 



La Designer allemande Maya Junger

www.set-fashion.com


&

La Designer québécoise Melissa Nepton 

www.melissanepton.com


Et pour toi jeune curieuse | curieux, il suffit d’aller visiter son site afin d’obtenir son aide. Et de t’offrir cette journée de rêve où tu auras la chance de vivre une vraie vie de star. 


P.S. Petit Indien, « like » gros sa page Facebook et tu seras toujours à l’affût des dernières tendances. 




SiteWeb: http://www.andreeannesamson.com/

Facebook: https://www.facebook.com/andreeannesamsonstyliste

Instagram: http://instagram.com/aa_styliste

Twitter: https://twitter.com/AndreeAnnesamso





Du cinéma selon Patrice Laliberté

7/24/2014

 
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Il y a de ces personnes que tu as dans ton Facebook depuis des lustres. Tu les stalks parce qu’au fin fond, tu les trouves réellement captivants. Patrice Laliberté, c’en est un. C’est pas seulement le gars un peu hipster nice à stalker, mais c’est surtout un passionné de cinéma. Et c’est pour voir son cheminement qu’il est encore plus intéressant à rencontrer.
 

Alors c’est un beau samedi de Festival ; au St-Henri, sur Emery, que tu rencontres ce beau barbu qui carbure à la passion. Dans l’temps, il était intimidant avec ses grands yeux bleus. Il ne parlait pas beaucoup, mais ses yeux jasaient énormément. Mais à présent, tu captes la sagesse dans son regard. Et même s’il est devenu un résident de la grande citadine, ça ne l’empêche pas d’avoir le cœur bien encré à Blainville. Parce que la banlieue est l’une de ses inspirations. De plus, il affirme qu’elle a le pouvoir.

La Banlieue, la jeunesse ainsi que nos charmants Baby Boomers.

La belle banlieue propre; parce que la proposition culturelle est moins grande. La jeunesse, parce qu’elle est toujours sur le Web, dans la fiction, de même que dans les soirées éphémères. Malgré leurs tourments, leurs difficultés, leurs besoins de fuir dans ces exutoires qu’est l’alcool et la drogue ; la jeunesse, sont avant toutes choses des p’tits êtres humains remplient de vie qui laissent place à l’espoir. Puis, il y a les Baby Boomers. Car ils sont toujours branchés sur la télévision. N’empêche que pour un jeune cinéaste, ce sont des clientèles qui lui relèvent de l’espoir, mais aussi des défis.

Notre homme a un projet cinématographique sur lequel son équipe et lui, travaillent depuis 3 ans. Viaduc. Un film qui fait référence à notre relève et son art. À travers Viaduc, il place le spectateur dans la vie d’un jeune graffeur ainsi que ses difficultés. Et c’est grâce à la C.A.Q. et SODEQ, que le 15 septembre, Monsieur Laliberté & Co. seront sur le tournage de ce film. Ils auront même l’autoroute 13 juste pour eux. Tu peux avoir plus d’information sur le film à venir. Et c’est grâce à ce lien, juste ICI : https://www.facebook.com/viaducfilm.

Dans son baluchon, Patrice traine La Boite à Malle. Une Web série sur lequel il a travaillé avec notre grand ténébreux, Gabriel D’Almeida Freitas, que tu peux retrouver dans la section « Des Images ». Et qui dort à travers les articles de notre deuxième publication. Aussi, Le Cycle des moteurs, film signé Laliberté, qui est actuellement sur Tou.Tv et qui sera en projection au Festival Fantasia. Sans oublier qu’il travaille sur des projets tels que BLV Bandits, une série qu’il aimerait projeter en Bloc comme sur la plateforme Netflix. Tu peux suivre le développement de BLV Bandits, ICI : https://www.facebook.com/blvbandits.

Aussi, il nous parle des difficultés en tant que jeune réalisateur au Québec. Parce qu’il y a plus d’attente après l’envoie d’un scénario, que de réponses. Alors il faut écrire. Et réappliquer. Participer à des concours. Écrire.  Encore. Et encore. Il faut avoir l’estomac qui est fait fort. S’accrocher. Être passionné. Et c’est le cas de Patrice. C’est en marchant à travers le Festival de Jazz, qu’il te dit qu’une réponse venant de la SODEQ prend généralement 4 mois.  

Mais malgré tous ses projets sur lesquels il travail, notre petit soldat fait maintenant parti de l’équipe de la  compagnie du nom de Paradoxe. Compagnie pour qui il se voit heureux de faire parti. Parce qu’il peut conjuguer ses projets personnels avec le travail. Puisque Paradoxe focus sur l’émergence des arts. T’sais quand la vie te mène à de belles trouvailles. Ça, ici, c’est le site : http://paradoxe.ca/

Bref,
 Ça. Fait. Changement. Des. Bars.
    

N’empêche que les bars, c’est aussi une inspiration pour notre gaillard. Parce qu’il connaît ça. Parce qu’il a déjà travaillé dans ce domaine. Longtemps.

Sinon, Patrice, qu’est-ce qui t’anime autant à travers la réalisation et l’univers photographique ?

« C’est de raconter des histoire.  Faire vivre des moments. Des bribes de vies. Faire pleurer, rire, surprendre, réfléchir. »


Et où te vois-tu dans 6 mois, grand passionné ?
« Dans le film Strange Days. Pour vous faire vivre une grande mise en abîme. Parce qu’on est rendu là. »


Qui sait, c’est peut-être avec Patrice Laliberté qu’on va vivre à travers un film de Science Fiction, réalisé en 1995; ici, au Québec.
 
Moi, j’veux être Juliette Lewis, Patrice.
Et toi, es-tu prêt à ça ?

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